martes, 24 de junio de 2008

RESERVA NACIONAL DE PARACAS

EL NOMADA XIV
RESERVA NACIONAL DE PARACAS
Solo para Nomadas...
RESERVE NATIONALE DE PARACAS
LE NOMADE XIV – Réserve nationale de Paracas
Seulement pour les Nomades…




En La Reserva Nacional de Paracas (RNP) gracias a la corriente de Humboldt encontramos 216 especies de aves, más de 180 especies de peces y 20 de cetáceos. Declarada también sitio RAMSAR por la convención de humedales de importancia internacional en 1991. Guarda en su seno a más de cien sitios arqueológicos y además sigue siendo residencia de pescadores y marisqueros, descendientes de aquellos que atravesaban el gran desierto entre Ocucaje y pozo santo, dicen que a lomo de mula hacían la gran travesía.
La presente edición del NOMADA va dedicada a La Reserva Nacional de Paracas. El paraíso de animales y hombres nómadas…

Dans la Réserve Nationale de Paracas (RNP), grâce au courant Humboldt, on trouve 216 espèces d’oiseaux, plus de 180 espèces de poissons et 20 de cétacées. Egalement classée site RAMSAR par la convention sur les zones humides d’importance internationale en 1991. Elle garde en son sein plus de cents sites archéologiques et, de plus, elle reste le lieu de résidence de pêcheurs et de ramasseurs de coquillages, descendants de ceux qui traversaient le grand désert entre Ocucaje et Pozo Santo, on dit qu’ils faisaient la grande traversée à dos de mulet.
La présente édition de NOMADE est dédiée à la Réserve Nationale de Paracas. Le paradis des animaux et des hommes nomades….


Cordialmente:
Víctor Corcuera Cueva

Mientras que el corazón respira aun la primavera, la piel siente ya el otoño…
Alors que le cœur respire encore le printemps, la peau sent déjà l’automne…


Por los pocos caminos que he andado sus arenas se han impregnado en mis pulmones.
Sur les quelques chemins où j’ai marché, leur sable a imprégné mes poumons





La belleza del desierto ha hipnotizado mis sentimientos y mientras que la cortina de los años cubre los desengaños,

La beauté du désert a hypnotisé mes sentiments, et alors que le rideau des années couvre les déceptions,


el Gran Paracas limpia las asperezas,

Le Grand Paracas efface les aspérités,


va erosionando los recuerdos.
Erode les souvenirs.

Tu vientre fresco, se pierde con el moldeado de tus sedimentos.
Ton ventre frais, se perd avec le moule de tes sédiments.


Tus policromas playas, despiertan mareas de pasiones y dramas…
Tes plages polychromes, réveillent les marées de drames et passions…


Tus hijos se posan embrujados a las delicias de la nutritiva corriente verde.

Tes enfants se posent ensorcelés par les délices de nutritif courant vert.

Mientras que la lluvia de arena fertiliza tus formas,
Alors que la pluie de sable fertilise tes formes,

las infinitas olas luchan para besar tus rostros.
Les vagues infinies luttent pour embrasser ton visage.

Y son andinos…
Et ils sont andins…




Tes mille feuilles de Chala (côte en quechua) claire gardent la mémoire des temps gris.
Tu mil hojas de clara Chala, guardan la memoria de los tiempos grises
.
Miles de cirios no serán capaces de apagar tu luz ancestral.
Des milliers de cierges seront incapables d’éteindre ta lumière ancestrale.


Tus espasmos inspiraron al Macchu Picchu, tus temblores están dibujados en sus ángulos...

Tes spasmes inspirèrent le Macchu Picchu, tes tremblements sont dessinés dans ses angles…


Las gaviotas van detrás de las infinitas olas…
Les mouettes vont derrière les vagues infinies…


Quédate allí, que nada ni nadie perturbe tus atardeceres.
Restes ici, que rien ni personne ne trouble tes couchers de soleil.
Traduction: Muriel Bianco

2 comentarios:

Anónimo dijo...

holaa victor que excelentes fotografias!! saludos!
rose benites

sylvie dijo...

merçi Victor pour nous avoir fait découvrir ton pays avec toute ta passion
Sylvie
voyage Nomade mai 2008